Publié le 09/06/2010 à 13:34 par
nonalelectiondelahonte
Sommé par la Direction de l’ANP de se débarrasser des hommes influents
de son clan, directement impliqués dans des scandales de corruption,
comme Khelil et Temmar, pour l’instant, ou ayant effectué des
déclarations graves et irresponsables, comme celles de Zerhouni, le
pyromane récidiviste, sur l’assassinat de Ali Tounsi et accusé, à juste
titre, d’immobilisme et d’impotence, Bouteflika a voulu doubler l’ANP
en s’agitant, quelques jours avant le remaniement ministeriel forcé,
pour annoncer son problèmatique plan de 286 milliards de dollars US.
Analysé par les experts étrangers et nationaux, le Professeur
Abdelmadjid BOUZIDI notamment, ce plan chimèrique ne sera finalement que
de moins de 100 milliards de dollars, le reste ne constituera que la
reprogrammation des projets qui n’ont pas été achevés durant les deux
plans précédents, 1999-2004 et 2005-2009.
Le but de Bouteflika, qui ne vole décidément pas haut, comme l’a montré
la grave humiliation que Nicolas Sarkozy lui a infligée au dernier
sommet France-Afrique tenu il y a quelques jours à Nice, était d’acheter
l’appui des partenaires étrangers et de traficants nationaux manipulés
par son frère Said.
Le chantage grossier n’a pas marché et, en acceptant de retirer à ses
hommes de main leurs postes stratègiques, Bouteflika confirme que lui et
sa famille sont également directement imlpliqués dans ces affaires de
corruption qui font les unes de nos journaux depuis des mois.
En sacrifiant ses complices, Bouteflika voulait sauver sa tête et celles
de ses frères mais le couperet est aujourd’hui sur leurs têtes et il
tombera le moment venu.
Le plus tôt sera le mieux pour laver les affronts successifs subis par
le pays à cause de ce clan de mercenaires, sans foi ni loi.
Vivement « l’après-Bouteflika », comme l’a dit le Professeur Rachid
Tlemçani, dans un entretien qu’il a accordé récemment à El Watan, dans
lequel il démontre clairement que le clan présidentiel vient de subir un
véritable cataclysme avec l’éviction brutale de trois de ses barons :
Zerhouni, Khelil et Temmar, pour les raisons évoquées précédemment.
Ceux qui restent du clan de Tlemcen, comme Medelci, Belaiz, Louh,
Messahel, Guendil etc…, ne valent pas à eux tous, l’un de ces trois
barons.
Le moment venu, c’est à dire bientôt, il seront remerciés et
retourneront à l’anonymat d’où ils n’auraient jamais dû sortir en raison
de leurs insuffisances professionnelles criardes.
Avec le départ forcé de ces trois barons aussi vieux que leur maître
commun, Bouteflika vient de perdre trois pieds du fauteuil présidentiel
vermoulu sur lequel il s’est fait visser en 1999.
Plus égocentrique tu meurs !
Apparemment, seul lui, le président le plus impopulaire que l’Algérie
n’ait jamais eu depuis 1962, ignore qu’il est cuit et fini et que s’il
avait un brin de dignité et d’honneur, il devrait rentrer chez lui pour
éviter une crise inutile au pays.
Le spectacle de mauvais goût auquel il s’est livré lors du 25ième Sommet
France-Afrique qui vient de se tenir à Nice, France, montre, s’il en
est besoin, que cet homme sénile et débile ne sait plus ce qu’il fait.
Le summum de l’improvisation et de la bêtise a été atteint lorsqu’il est
allé se jeter dans les bras de son frère Moubarek après tout le mal que
l’Egypte a fait à notre pays pour une banale rencontre de football.
Chers frères et soeurs, à un moment aussi crucial de son histoire,
l’Algérie ne peut plus se permettre de laisser son sort entre les mains
tremblotantes d’un aventurier, paranoïaque et malade, qui a eu le temps (
11 ans ) de nous montrer toute l’étendue de sa misère morale, de son
incompétence et de ses limites structurelles.
Vive l’Algérie !
Vive la République !
Vive le peuple algérien uni et solidaire !
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nonalelectiondelahonte
Sommé par la Direction de l’ANP de se débarrasser des hommes influents
de son clan, directement impliqués dans des scandales de corruption,
comme Khelil et Temmar, pour l’instant, ou ayant effectué des
déclarations graves et irresponsables, comme celles de Zerhouni, le
pyromane récidiviste, sur l’assassinat de Ali Tounsi et accusé, à juste
titre, d’immobilisme et d’impotence, Bouteflika a voulu doubler l’ANP
en s’agitant, quelques jours avant le remaniement ministeriel forcé,
pour annoncer son problèmatique plan de 286 milliards de dollars US.
Analysé par les experts étrangers et nationaux, le Professeur
Abdelmadjid BOUZIDI notamment, ce plan chimèrique ne sera finalement que
de moins de 100 milliards de dollars, le reste ne constituera que la
reprogrammation des projets qui n’ont pas été achevés durant les deux
plans précédents, 1999-2004 et 2005-2009.
Le but de Bouteflika, qui ne vole décidément pas haut, comme l’a montré
la grave humiliation que Nicolas Sarkozy lui a infligée au dernier
sommet France-Afrique tenu il y a quelques jours à Nice, était d’acheter
l’appui des partenaires étrangers et de traficants nationaux manipulés
par son frère Said.
Le chantage grossier n’a pas marché et, en acceptant de retirer à ses
hommes de main leurs postes stratègiques, Bouteflika confirme que lui et
sa famille sont également directement imlpliqués dans ces affaires de
corruption qui font les unes de nos journaux depuis des mois.
En sacrifiant ses complices, Bouteflika voulait sauver sa tête et celles
de ses frères mais le couperet est aujourd’hui sur leurs têtes et il
tombera le moment venu.
Le plus tôt sera le mieux pour laver les affronts successifs subis par
le pays à cause de ce clan de mercenaires, sans foi ni loi.
Vivement « l’après-Bouteflika », comme l’a dit le Professeur Rachid
Tlemçani, dans un entretien qu’il a accordé récemment à El Watan, dans
lequel il démontre clairement que le clan présidentiel vient de subir un
véritable cataclysme avec l’éviction brutale de trois de ses barons :
Zerhouni, Khelil et Temmar, pour les raisons évoquées précédemment.
Ceux qui restent du clan de Tlemcen, comme Medelci, Belaiz, Louh,
Messahel, Guendil etc…, ne valent pas à eux tous, l’un de ces trois
barons.
Le moment venu, c’est à dire bientôt, il seront remerciés et
retourneront à l’anonymat d’où ils n’auraient jamais dû sortir en raison
de leurs insuffisances professionnelles criardes.
Avec le départ forcé de ces trois barons aussi vieux que leur maître
commun, Bouteflika vient de perdre trois pieds du fauteuil présidentiel
vermoulu sur lequel il s’est fait visser en 1999.
Plus égocentrique tu meurs !
Apparemment, seul lui, le président le plus impopulaire que l’Algérie
n’ait jamais eu depuis 1962, ignore qu’il est cuit et fini et que s’il
avait un brin de dignité et d’honneur, il devrait rentrer chez lui pour
éviter une crise inutile au pays.
Le spectacle de mauvais goût auquel il s’est livré lors du 25ième Sommet
France-Afrique qui vient de se tenir à Nice, France, montre, s’il en
est besoin, que cet homme sénile et débile ne sait plus ce qu’il fait.
Le summum de l’improvisation et de la bêtise a été atteint lorsqu’il est
allé se jeter dans les bras de son frère Moubarek après tout le mal que
l’Egypte a fait à notre pays pour une banale rencontre de football.
Chers frères et soeurs, à un moment aussi crucial de son histoire,
l’Algérie ne peut plus se permettre de laisser son sort entre les mains
tremblotantes d’un aventurier, paranoïaque et malade, qui a eu le temps (
11 ans ) de nous montrer toute l’étendue de sa misère morale, de son
incompétence et de ses limites structurelles.
Vive l’Algérie !
Vive la République !
Vive le peuple algérien uni et solidaire !
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