Le patron du groupeOrascom Telecom, Naguib Sawiris, a sévèrement "taclé" le gouvernementAlgérien au sommet des marchés émergents organisé par The Economist.
"Nousavons atteint une part de marché de plus de 70% dans les télécoms où il y atrois acteurs. Nous sommes les plus grands et ils ont commencé à exercer despressions sur nous pour la simple raison que nous étions très rentables et quenous avons réussi", a lancé d'emblée le milliardaire égyptien qui n'a pasmanqué de décocher des flèches empoisonnées à l'encontre des AutoritésAlgériennes et à leur tête le Président Bouteflika.
Selonle site maghrebemergent.info, Sawiris a tenu des propos très durs àl'encontre de l'Etat Algérien. Ainsi, pour lui, l'Algérie souffre d'une "faiblesse de l’Etat de droit" qui dissuade les investisseursétrangers de venir s'installer dans notre pays.
Pireencore, pour le patron d'Orascom Holding, en Algérie il règne "un environnement non-démocratique" et dans ce pays " vousne pouvez investir sans la bénédiction du numéro 1. Si vous ne pouvez pasl'obtenir, vous ne devriez pas être là" ! Avec de telles déclarationsfracassantes, le "Bacha" Sawiris a dangereusement écorné l'image del'Algérie.
Etpour cause, de graves allusions sont signalées dans ces phrases incendiairescar elle implique directement le personne du Chef de l'Etat dans lesinvestissements réalisés par Naguib Sawiris en Algérie.
Denombreux observateurs ont cru comprendre que le milliardaire a voulutransmettre un message à l'assistance de ce sommet. Or, décodé, ce messagepourrait comporter certaines vérités dangereuses. En effet, si en Algérie, leGroupe Orascom a bénéficié de la bénédiction des Hautes Autorités, celapourrait alimenter de graves accusations de corruption.
C'estdonc un véritable pavé dans la marre que vient de jeter Naguib Sawaris. Cetteaffaire ne restera certainement pas sans suite car le bras de fer entre Orascomet le gouvernement Algérienne vire désormais au scandale !
"Nousavons atteint une part de marché de plus de 70% dans les télécoms où il y atrois acteurs. Nous sommes les plus grands et ils ont commencé à exercer despressions sur nous pour la simple raison que nous étions très rentables et quenous avons réussi", a lancé d'emblée le milliardaire égyptien qui n'a pasmanqué de décocher des flèches empoisonnées à l'encontre des AutoritésAlgériennes et à leur tête le Président Bouteflika.
Selonle site maghrebemergent.info, Sawiris a tenu des propos très durs àl'encontre de l'Etat Algérien. Ainsi, pour lui, l'Algérie souffre d'une "faiblesse de l’Etat de droit" qui dissuade les investisseursétrangers de venir s'installer dans notre pays.
Pireencore, pour le patron d'Orascom Holding, en Algérie il règne "un environnement non-démocratique" et dans ce pays " vousne pouvez investir sans la bénédiction du numéro 1. Si vous ne pouvez pasl'obtenir, vous ne devriez pas être là" ! Avec de telles déclarationsfracassantes, le "Bacha" Sawiris a dangereusement écorné l'image del'Algérie.
Etpour cause, de graves allusions sont signalées dans ces phrases incendiairescar elle implique directement le personne du Chef de l'Etat dans lesinvestissements réalisés par Naguib Sawiris en Algérie.
Denombreux observateurs ont cru comprendre que le milliardaire a voulutransmettre un message à l'assistance de ce sommet. Or, décodé, ce messagepourrait comporter certaines vérités dangereuses. En effet, si en Algérie, leGroupe Orascom a bénéficié de la bénédiction des Hautes Autorités, celapourrait alimenter de graves accusations de corruption.
C'estdonc un véritable pavé dans la marre que vient de jeter Naguib Sawaris. Cetteaffaire ne restera certainement pas sans suite car le bras de fer entre Orascomet le gouvernement Algérienne vire désormais au scandale !