Accueil
Les élèves du CEM des frères Benaceur au chef-lieu de la commune de Dellys, sont en permanence exposés aux dangers de la route.
L’inquiétude est grande en effet lorsqu’on sait que le portail de leur établissement est placé en bordure de la RN-24. De ce fait, le risque pour les élèves d’être fauchés par de potentiels chauffards, notamment aux heures de sortie, est décidément sérieux. Une enseignante dans cette école n’a pas manqué d’exhorter les élèves, dès le premier jour de la rentrée, à être particulièrement prudents lorsqu’ils sortent de leur établissement et surtout de ne jamais se regrouper devant le portail. Vu la vulnérabilité des enfants, souvent incontrôlables, les parents sollicitent constamment l’implantation, en plus de panneaux de signalisation, des ralentisseurs en vue d’assurer aux enfants une protection fiable contre tout danger. Un parent, sexagénaire, considère l’école comme une institution sacrée. «Mon souhait le plus cher, ajoute-t-il, est de voir un jour un policier en faction devant l’entrée de chaque établissement scolaire. Au lieu d’obéir à la loi de la jungle, l’automobiliste en général et le transporteur public en particulier doivent penser au fond d’eux-mêmes que l’école est logiquement un ralentisseur de fait. En principe, il suffit d’apercevoir un panneau signalant la présence d’une école ou de se rendre compte qu’on est dans un périmètre de cette institution pour s’imposer une vigilance sans faille», ajoute ce parent. L’administration a pensé à une solution consistant à ouvrir le portail un peu tôt, mais même si cette solution est loin d’être idéale, il n’en demeure pas moins qu’elle réduit considérablement les risques. Aussi, pour éviter au maximum le danger, la réalisation de ralentisseurs devant chaque école s’avère une revendication légitime pour les parents et un devoir pour les services compétents.
S. Brahimi
L’inquiétude est grande en effet lorsqu’on sait que le portail de leur établissement est placé en bordure de la RN-24. De ce fait, le risque pour les élèves d’être fauchés par de potentiels chauffards, notamment aux heures de sortie, est décidément sérieux. Une enseignante dans cette école n’a pas manqué d’exhorter les élèves, dès le premier jour de la rentrée, à être particulièrement prudents lorsqu’ils sortent de leur établissement et surtout de ne jamais se regrouper devant le portail. Vu la vulnérabilité des enfants, souvent incontrôlables, les parents sollicitent constamment l’implantation, en plus de panneaux de signalisation, des ralentisseurs en vue d’assurer aux enfants une protection fiable contre tout danger. Un parent, sexagénaire, considère l’école comme une institution sacrée. «Mon souhait le plus cher, ajoute-t-il, est de voir un jour un policier en faction devant l’entrée de chaque établissement scolaire. Au lieu d’obéir à la loi de la jungle, l’automobiliste en général et le transporteur public en particulier doivent penser au fond d’eux-mêmes que l’école est logiquement un ralentisseur de fait. En principe, il suffit d’apercevoir un panneau signalant la présence d’une école ou de se rendre compte qu’on est dans un périmètre de cette institution pour s’imposer une vigilance sans faille», ajoute ce parent. L’administration a pensé à une solution consistant à ouvrir le portail un peu tôt, mais même si cette solution est loin d’être idéale, il n’en demeure pas moins qu’elle réduit considérablement les risques. Aussi, pour éviter au maximum le danger, la réalisation de ralentisseurs devant chaque école s’avère une revendication légitime pour les parents et un devoir pour les services compétents.
S. Brahimi
